La mort pour cadeau [PV June]

Dante était revenu de la forêt, où il s’était reposé un peu. Il devait faire part à June de la nouvelle qu’il avait put glaner… Galdhir, le chef des rebels était mort au combat. Dante ne savais qui l’avais tuer, et comment, mais une chose était sure… Cet homme était mort en héros… Il savais que June allais mal prendre cette nouvelle, mais Dante avais lui-même sa part de peine… Alicia avait disparue et la jeune lapine, Arceuid aussi. Dante s’appuya un moment sur la porte qui menait à la chambre de June. Il regardait le sol, les yeux vitreux, vide de toute envie de vivre. Pour lui Alicia était morte… Même si il n’en était pas sur, mais il avait envie de mourir. Ou même de se donner corps et âme a June… Oui… C’est ce qu’il allait faire. Mais une voix rocailleuse le réveilla de sa somnolence morbide :

« Dante ?! Que fait tu ? »

Dante se retourna vers lui, et avec une voix qui ne semblait plus être la sienne il répondit :

« Je réfléchit Fenril… Je pense… Je me rappelle juste de ce que j’avais fait avec ma tendre Alicia… »

Puis il marqua une courte pose, puis avec les yeux embrumer, il dit :

« Je songe aussi me donne corps et âme a June… Si je peux effacer sa peine… Etreindre ses sanglots… Je pense que je pourrais aider ma reine… Et peut être… »

Sa voix devenait faible comme blessée par un couteau invisible :

« L’aimer… »

Sa voix s’éteignit, mais celle de Fenril se fit encore entendre, comme abasourdit par se que avais dit Dante, le jeune dragon nain, s’étonna :

« De quoi ? Est-tu fou Dante ? »

Dante ne répondit pas a cette question qui n’intéressais personne sauf se dragonnet. Il se redressa un peu, épousseta son manteau, qui après son voyage était couvert de poussière. Il leva la main, plus sur de lui. Et tapa plusieurs fois à la porte de June, tout en parlant de sa voix forte :

« Ma reine ! C’est Dante ! Je dois vous annoncer une triste nouvelle ! »

D'un pas lent et las, June se dirigeait vers la porte. Avant cela, elle avait fait une sieste peu calmante. En fait, sa très cher Poupay avait fait divers cauchemar l'éveillant en pleine nuit et énervant sa maîtresse. June n'en avait que faire des soucis de sa poupée et l'avais enfermée dans le placard pour la nuit. Le matin elle lui ouvrit et celle ci s'avança froidement et alla se coucher dans le lit. Poupay savait qu'elle avait énervé June.

Heureusement, pendant sa sieste June se réveilla suite au bruit derrière sa porte. Elle en profita pour se coiffé, se maquillé. Mais au moment ou la personne frappa à la porte, elle était énervée et n’avais pas encore mis ses vêtements royaux. Seul sa dame de chambre ou son chef pouvait entrée. Elle entendit la voix d'un homme. Ce devait être Dante. De plus, June portait une petite nuisette agréable à regarder. Elle n'avait pas le temps ni l'envie de se changer la 'instant. Elle tourna la poigné, oubliant la présence de sa robe de nuit courte, et presque transparent laissant passer juste ses sous vêtement de dentelles noirs. Elle lui ouvrit la porte et le vit, d'un air troublé.

-Que ce passe t-il enfin?

Enervée, de plus prête à écouter la triste nouvelle de Dante, elle s'appuya sur le pas de sa porte. Poupay vint et sauta dans ses bras. June avait toujours l'air énervé, et regardait froidement Dante.

-Il c'est passé quelque chose avec Galdhir, c'est ça?

Et la, elle avait toujours cet air froid mais sentait les larmes lui monter. Elle ne devait pas pleurer. Certainement pas. Jamais. Elle se retint et attendit d'en savoir plus.

Quand June vint à la porte passablement énervée, mais aussi belle comme le jour sous sa robe de nuit, que Dante ne put s’empêcher de détourner le regard de la demoiselle et de rougir. Quand il osa encore la regardé, même si il se sentais bizarre maintenant, il ouvrit la bouche, mais un son cassé sortit de sa bouche, mais ce n’était que ce qu’il disais :

« Ma reine… »

Dante se mis a genoux, pris la main de June et y déposa ses lèvres, en un baiser gracieux.

« Notre ennemi est mort au combat… »

Il le dit tout en relevant la tête, mais sur le visage de Dante on pouvais lire la tristesse, il n’y avais qu’une seule larme qui avais osée couler sur sa joue blanche. Il baissa la tête et dit avec une voix plus sure :

« Je suis désolé ma reine… De devoir vous l’apprendre… »

Dante se releva et dit avec la voix plus triste qu’elle aurait put être :

« Et… Ma maîtresse est peut être morte aussi… Alicia… »

Alors il se mis près de June, et se remis a genoux, baissant la tête, Soumis a June :

« Je voudrais vous dire… Ma reine… Que je vous donne quelque chose d’important pour moi… Pour essayer de vous consolée… »

Il avala difficilement sa salive et mis une main sur son genou gauche, puis dit a voix haute :

« Ma reine, Je vous donne mon âme et mon corps. Faites ce que vous voulez avec. Je suis a vous… Entièrement… »

Quand June appris la nouvelle pour son amant, elle en fut choquée mais n'en fit rien. C'était toujours son ennemi. Elle l'avait aimé mais ne pouvait faire durer une telle relation de toutes les façons. De plus, elle était solide.

Elle aurait aimé encore sentir sa peau contre la sienne mais a présent cette idée se devait être réduite a néant. Elle se devait de l'oublier. Soit par l'abstraction de relation très longtemps, soit par un autre... Quelqu'un qui lui ferait oublié Galdhir afin que sa vie puisse continuer.

Elle vit Dante se déstabilisé face a son aveux. Apparemment, sa bien aimée était elle aussi décédée. Il lâcha alors une larme et Poupay soupira. June le regarda puis réagit comme a son habitude. Enfin, il se donna a elle. De sa main appuyée, elle se redressa puis appela :

-Dante?

Puis il releva la tête. Elle le regarda un instant puis vit volé sa main en arrière. Un claquement puissant se fit entendre. Elle était entrée en colère noire :

-Un homme ne pleure pas ! Moi même qui ai se droit je ne le fait pas ! Ne te donne pas a moi comme si tu n'était qu'un objet. Montre moi ta fierté...

Elle plaça sa main sous le menton de Dante, s'abaissa a son niveau et tout en le lui caressant rajouta sournoisement :

-Montre moi que tu as envie de moi. Ne te donne pas. Prends moi.

Quand Dante reçus la claque De June, celui-ci se mis a tremblé de rage. Elle lui dit qu’il ne se devait pas de pleurer, mais en lui, il bouillait maintenant. Elle lui dit qu’il devais pas se donner a elle, mais lui montrer qu’elle était a lui. Dante la regardait comme jamais il l’avait fait, ses yeux étaient emplit de rage, mais aussi de tristesse. Il fallais qu’il oublie Alicia, et il savais qu’en s’oubliant dans les bars de June, il pouvais enfin se libérer du péché de du deuil. Il se releva et dit a June avec un air de défit, proche du vice.

« Alors soyez a moi. »

Il s’approcha de June, la saisie par les mains, et se baissant vers elle, il fit tomber Poupey. Laissant les bras de la jeune vampire. Il lui pris le visage d’une main, et approcha son visage de celui de June.

« Je vais vous faire mienne, si c’est cela que vous souhaitez… »

Il l’embrassa, comme jamais June aurais été embrassée, avec de la passion, mais aussi de l’envie. La langue de Dante, s’introduisait dans la bouche de June dans une caresse sensuelle. De sa main libre, Dante caressais la cuise de June. Puis dans son élan, Dante souleva June, et la déposa sur le lit, lui au dessus d’elle.

« Ma reine… »

Ce que dit Dante fut un soupir, quelque chose de bref, puis il l’embrassa encore, sa main glissant vers la culotte de June avec avidité. La bouche de Dante dériva vers le cou de June, et avec délice, il suça le lobe de l’oreille de June. Tout en lui suturant :

« Vous êtes si belle… Ma reine… Que je ne peux me contenir… »

June sentit la rage montée en Dante et elle appréciait cela. Son chef d'armée la saisi alors, la caressant à la cuisse et l'embrassant fougueusement, voir mieux que Galdhir.

Il la souleva et l'emmena sur le lit. Elle sentit sa main brulante se diriger vers sa petite culotte de dentelles noires et elle l'aida à l'enlever. La petite culotte finit par tomber au pied lit. N'aimant pas trop être prise pour un simple objet, June commença a embrassé Dante a son tour, puis lui fit enlever son haut avec assez bien de force.

Se retrouvant lui torse nu, elle avec la robe de nuit relevée, elle se mit a lui caressé le torse avec envie. Elle cessa son baiser puis se mit a lui embrassé le torse ardemment.

-Mhh...

Fit-elle en un soupir.
Comme deux âme en peine désirant s'oublier l'une dans l'autre, ils étaient sur le lit et ne semblait vouloir se séparés. June finit tout de même par enlever sa robe de nuit, ne portant plus que son soutient gorge. Elle caressait le dos de Dante et aimait sentir sa main proche de son entre jambe.
Poupay s'était refugiée dans l'armoire, renfermée.

Dante ne se lassai pas de caresser avec ardeur l’entre jambe de June. De la langue, il parcouru son cou et avec un geste non moins tendre, il lui enleva le soutient gorge et laissa sa bouche s’attardée sur la poitrine de June. Dans un souffle chaud comme l’envie elle-même, il mordit la jeune vampire, pas pour qu’elle ais mal, mais dans un excès de cette pulsion qu’on pouvais qualifiée de sexuelle. Il pouvait sentir les mains de June lui caresser le torse, puis se diriger vers son pantalon et lui dérober. Son beau pantalon de cuir beige tomba sur le sol, laissant Dante avec comme seul habit un slip de couleur noir. Il lui dit d’un air amuser :

« Je vois que je ne suis pas le seul à vouloir faire plaisir à ma reine… »

Il senti monter en lui le désir de lui faire encore plus plaisir. Et d’une main libre, il retira son slip et s’approcha de June, juste pour être juste au dessus d’elle. Il toucha ses lèvres de sa bouche, et comme pour lui faire monter l’envie, il se baissa un peu, et frotta son membre contre le sexe de June. Il poussa un soupir de plaisir. Et l’embrassa langoureusement puis avec fougue. Puis il lui chuchota à l’oreille quelque chose que poupey n’aurais pas put entendre :

« Ma reine… Ma reine… Votre beauté me donne envie de faire bien plus que de vous aimez… »

Il aimais l’exciter, et en profitait, il ne lui donnais pas tout de suite ce qu’elle voulais. Puis quand il sentis qu’elle ne pouvais plus attendre, il se fila en elle, la pénétrant de son membre chaud comme l’envie. Il entama un va et viens, doux, puis puissant. Il sentait le corps de June bouger avec le rythme.

« M’aime tu ma reine… »

Sa voix était comme un souffle, le plaisir de tout son être.

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